Pourquoi j’ai voté à la CIPAV : un article pour éclairer les ostéopathes perdus
🔵 Avant toute chose : ma position personnelle (non factuelle, opinion personnelle)
Je ne crois pas que le système de retraite français, tel qu’il est construit aujourd’hui, soit soutenable démographiquement à long terme.
C’est une opinion personnelle : pas une donnée vérifiable, donc je la présente comme telle.
Je considère également comme un problème majeur le manque de transparence de la CIPAV concernant les actifs dans lesquels nos cotisations sont investies.
Là encore : c’est un ressenti personnel lié à l’opacité perçue du pilotage financier, pas une information officiellement documentée.
Dans l’idéal, j’aimerais un système permettant :
-
plus de liberté d’investissement individuel,
-
davantage de pédagogie financière,
-
la possibilité de construire soi-même un patrimoine durable et compréhensible,
-
plutôt que de dépendre intégralement d’un mécanisme collectif dont les paramètres changent régulièrement.
Mais, dans le cadre actuel, imparfait, opaque, contesté, il faut quand même voter pour protéger ce qui peut l’être dans notre profession.
C’est dans ce contexte que j’ai rempli mon bulletin :
👉 un vote de protection, pas d’adhésion idéologique.
🔵 Comprendre enfin la CIPAV : un résumé factuel à partir de l’article d’ostéopathe.pro
(Source : Pierre-Adrien Liot, ostéopathe, 6 novembre 2025)
L’article d’ostéopathe.pro explique de manière claire ce qu’est réellement la CIPAV, ce qu’elle gère, et pourquoi tous les ostéopathes libéraux en dépendent, qu’on le veuille ou non.
Voici les éléments 100 % factuels exposés dans l’article.
🟥 1. La CIPAV, c’est quoi ?
La Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d’Assurance Vieillesse est l’organisme chargé de :
Elle couvre environ 400 professions, dont les ostéopathes libéraux.
Elle fait partie de la CNAVPL, organisme de Sécurité sociale dédié aux professions libérales.
Elle gère environ :
-
803 millions € de prestations versées chaque année,
-
9,3 milliards € de réserves financières (donnée 2024 – source ostéopathe.pro).
🟥 2. Les ostéopathes : automatiquement affiliés
Tout ostéopathe exerçant en libéral relève obligatoirement de la CIPAV.
Cela implique :
-
cotisation retraite (base + complémentaire),
-
cotisation invalidité décès,
-
acquisition de points de retraite,
-
versement potentiel d’une rente en cas d’invalidité,
-
versement d’un capital décès aux ayants droit.
Les revenus déclarés chaque année servent de base au calcul des cotisations.
🟥 3. Depuis 2023 : l’URSSAF collecte les cotisations
Depuis la réforme issue de la loi de financement de la Sécurité sociale 2022 :
-
la CIPAV n’encaisse plus directement,
-
l’URSSAF collecte les cotisations,
-
les cotisations retraite complémentaire et invalidité-décès sont désormais proportionnelles au revenu, et non plus forfaitaires.
Objectifs officiels : lisibilité, équité, simplification.
🟥 4. Comment fonctionne la retraite CIPAV ? Un système à points
Fait important et vérifiable :
-
Chaque cotisation donne droit à un nombre de points,
-
À la retraite, la pension = nombre total de points × valeur du point.
Comme tous les systèmes à points :
➡️ si la valeur du point varie à la baisse ou à la hausse, la pension future varie aussi.
🟥 5. Gouvernance : des administrateurs élus (dont nous, ostéos)
La CIPAV est dirigée par un Conseil d’administration de 24 membres titulaires répartis en 4 groupes professionnels, élus parmi les cotisants et retraités.
C’est là que nous votons.
C’est ce vote qui peut :
-
influencer les orientations,
-
demander plus de transparence,
-
défendre certaines professions,
-
protéger des dispositifs existants (ex : prise en charge des formations continues).
🟥 6. Les véritables enjeux — factuels — de la CIPAV, selon ostéopathe.pro
L’article identifie clairement plusieurs défis :
🔸 Gestion financière
-
équilibre du régime par répartition,
-
pilotage prudent des réserves,
-
ratio cotisants/retraités en tension.
🔸 Prestations
-
garantir le pouvoir d’achat des pensions,
-
renforcer l’invalidité décès,
-
améliorer la lisibilité des droits.
🔸 Organisation
-
modernisation des outils,
-
amélioration du service aux affiliés,
-
accompagnement dans les transitions professionnelles.
🔸 Gouvernance
-
décisions de valeur d’achat/service du point,
-
représentativité équitable des professions,
-
transparence des arbitrages.
🔸 Démographie
→ Ce sont des données factuelles.
🔵 Pourquoi j’ai voté malgré mes doutes ?
Voici ma motivation personnelle, clairement séparée du factuel :
✔️ 1. Je ne crois pas que le système actuel me donnera une retraite convenable
Les raisons :
-
dynamique démographique défavorable,
-
incertitude sur la valeur du point à long terme,
-
manque de transparence sur les réserves (composition des actifs).
Ce n’est pas une affirmation scientifique : c’est un doute légitime basé sur les observations publiques du système français.
✔️ 2. Je préfère construire ma retraite via mes propres investissements
Via :
-
épargne financière,
-
immobilier,
-
placements diversifiés.
Mais aujourd’hui, nous sommes juridiquement obligés de cotiser à la CIPAV.
Donc le vote est l’un des rares leviers.
✔️ 3. Le seul avantage clair aujourd’hui pour nous ostéos : la prise en charge des formations
C’est un point concret, factuel, indiscutable.
Protéger cet acquis demande de choisir des représentants compétents et alignés avec notre réalité.
✔️ 4. Je vote pour limiter les dégâts, pas parce que j’y crois
Je préférerais un système plus :
Mais en attendant une réforme structurelle :
👉 je vote pour les personnes qui me semblent les plus capables de protéger la profession.
🔵 Pour qui j’ai voté
Je reproduis simplement ton bulletin tel qu’il apparaît :
-
Denis CRABIÈRES & Jean-Marc VENGEON
-
Pierre DELACROIX & Clémence GELEE
-
Julinda FERNANDES & Caroline SUBRA-ITSUTSUJI
-
Pierre-Adrien LIOT & Hervé DUMANS
-
Marie-Madeleine MARTIN & Sébastien GRAVIERE
1️⃣ Voter pour ces candidats, c’est soutenir une ostéopathie plus reconnue et mieux intégrée dans le système de santé
Les profils que j’ai choisis portent une vision moderne de l’ostéopathie :
-
plus scientifique,
-
plus crédible,
-
mieux articulée avec les autres professions de santé,
-
plus alignée avec les enjeux contemporains (EBP, interprofessionnalité, lisibilité publique, formation continue de qualité).
Ils défendent une ostéopathie qui avance, pas une ostéopathie qui se replie.
Ils cherchent à renforcer nos interactions avec les médecins, les kinés, les sages-femmes, les chercheurs, plutôt que de maintenir des clivages d’un autre temps.
C’est indispensable pour gagner en légitimité et en visibilité à long terme.
2️⃣ J’ai volontairement exclu les candidats qui perpétuent les anciennes “guerres” internes de la profession
Certaines candidatures portent encore le poids d’une bataille générationnelle des années 70–90, issue d’un contexte totalement différent :
-
anciens kinés devenus ostéos dans un cadre conflictuel,
-
rancœurs historiques envers l’État ou envers d’autres professions,
-
posture défensive ou revancharde jouant sur l’émotionnel,
-
communication basée sur l’ego ou sur la nostalgie d’un combat passé.
Ces pionniers ont été essentiels dans leur époque, personne ne le nie. Nous les remercions infiniment.
Mais continuer à structurer l’avenir de la profession autour de blessures anciennes est un frein, pas un moteur.
Aujourd’hui, l’enjeu n’est plus la guerre :
👉 il est la structuration, la reconnaissance, la rigueur, et la collaboration.
Nous avons besoin d’élus capables de penser l’avenir, pas de revivre le passé.
3️⃣ Je refuse de voter pour les candidats qui veulent revaloriser des cotisants n’ayant pas cotisé (au détriment des jeunes)
Certains candidats défendent l’idée de “réparer” ou “rattraper” les droits de ceux qui n’ont pas cotisé correctement par le passé.
C’est une ligne rouge pour moi.
Pourquoi ?
-
Parce que l’équité intergénérationnelle doit être réelle, pas symbolique.
-
Parce qu’un jeune ostéopathe qui cotise déjà beaucoup n’a aucune raison de financer les manques des autres.
-
Parce qu’un système de retraite par répartition ne peut pas devenir un système où ceux qui n’ont pas cotisé seraient malgré tout revalorisés.
-
Parce que la responsabilité individuelle est un pilier essentiel de notre statut libéral.
👉 Nous ne sommes pas là pour “payer la note” d’erreurs passées.
👉 Ce n’est ni juste, ni viable, ni cohérent.
Et comme je l’ai dit dans l’introduction :
Je ne crois pas à un système où la jeune génération compense systématiquement les défaillances administratives ou personnelles des générations précédentes.
Ce n’est pas un modèle juste, et ce n’est certainement pas un modèle moderne.
Nous sommes ostéopathes libéraux, pas un régime collectiviste où l’effort des uns efface l’absence d’effort des autres.
🔵 En résumé : Pourquoi ces candidats ?
Pour trois raisons très simples :
✔️ Ils défendent une ostéopathie moderne, rigoureuse, lisible et reconnue.
✔️ Ils veulent sortir des querelles historiques et porter la profession vers l’avenir.
✔️ Ils ne demandent pas aux jeunes cotisants de financer rétroactivement les manques des autres.
C’est un vote pragmatique, responsable, et tourné vers l’avenir de notre métier.
🔵 Pourquoi votre vote compte
Même si :
-
vous ne comprenez pas tout à la CIPAV,
-
vous n’y croyez pas,
-
vous investissez déjà vous-même pour votre retraite,
-
vous trouvez le système opaque, lent, déconnecté…
le vote reste le seul outil réel pour :
-
défendre notre profession,
-
éviter que d’autres décident à notre place,
-
maintenir certains avantages concrets,
-
exiger plus de transparence,
-
demander une meilleure gestion.
S’abstenir, c’est laisser les décisions aux autres. (Prochaine élection dans 6ans)*
Louis Calcet Ostéopathe D.O
CIPAV : Pour qui voter en 2025 en étant Ostéopathe
Pourquoi j’ai voté à la CIPAV : un article pour éclairer les ostéopathes perdus
🔵 Avant toute chose : ma position personnelle (non factuelle, opinion personnelle)
Je ne crois pas que le système de retraite français, tel qu’il est construit aujourd’hui, soit soutenable démographiquement à long terme.
C’est une opinion personnelle : pas une donnée vérifiable, donc je la présente comme telle.
Je considère également comme un problème majeur le manque de transparence de la CIPAV concernant les actifs dans lesquels nos cotisations sont investies.
Là encore : c’est un ressenti personnel lié à l’opacité perçue du pilotage financier, pas une information officiellement documentée.
Dans l’idéal, j’aimerais un système permettant :
plus de liberté d’investissement individuel,
davantage de pédagogie financière,
la possibilité de construire soi-même un patrimoine durable et compréhensible,
plutôt que de dépendre intégralement d’un mécanisme collectif dont les paramètres changent régulièrement.
Mais, dans le cadre actuel, imparfait, opaque, contesté, il faut quand même voter pour protéger ce qui peut l’être dans notre profession.
C’est dans ce contexte que j’ai rempli mon bulletin :
👉 un vote de protection, pas d’adhésion idéologique.
🔵 Comprendre enfin la CIPAV : un résumé factuel à partir de l’article d’ostéopathe.pro
(Source : Pierre-Adrien Liot, ostéopathe, 6 novembre 2025)
L’article d’ostéopathe.pro explique de manière claire ce qu’est réellement la CIPAV, ce qu’elle gère, et pourquoi tous les ostéopathes libéraux en dépendent, qu’on le veuille ou non.
Voici les éléments 100 % factuels exposés dans l’article.
🟥 1. La CIPAV, c’est quoi ?
La Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d’Assurance Vieillesse est l’organisme chargé de :
la retraite de base,
la retraite complémentaire,
le régime invalidité décès.
Elle couvre environ 400 professions, dont les ostéopathes libéraux.
Elle fait partie de la CNAVPL, organisme de Sécurité sociale dédié aux professions libérales.
Elle gère environ :
803 millions € de prestations versées chaque année,
9,3 milliards € de réserves financières (donnée 2024 – source ostéopathe.pro).
🟥 2. Les ostéopathes : automatiquement affiliés
Tout ostéopathe exerçant en libéral relève obligatoirement de la CIPAV.
Cela implique :
cotisation retraite (base + complémentaire),
cotisation invalidité décès,
acquisition de points de retraite,
versement potentiel d’une rente en cas d’invalidité,
versement d’un capital décès aux ayants droit.
Les revenus déclarés chaque année servent de base au calcul des cotisations.
🟥 3. Depuis 2023 : l’URSSAF collecte les cotisations
Depuis la réforme issue de la loi de financement de la Sécurité sociale 2022 :
la CIPAV n’encaisse plus directement,
l’URSSAF collecte les cotisations,
les cotisations retraite complémentaire et invalidité-décès sont désormais proportionnelles au revenu, et non plus forfaitaires.
Objectifs officiels : lisibilité, équité, simplification.
🟥 4. Comment fonctionne la retraite CIPAV ? Un système à points
Fait important et vérifiable :
Chaque cotisation donne droit à un nombre de points,
À la retraite, la pension = nombre total de points × valeur du point.
Comme tous les systèmes à points :
➡️ si la valeur du point varie à la baisse ou à la hausse, la pension future varie aussi.
🟥 5. Gouvernance : des administrateurs élus (dont nous, ostéos)
La CIPAV est dirigée par un Conseil d’administration de 24 membres titulaires répartis en 4 groupes professionnels, élus parmi les cotisants et retraités.
C’est là que nous votons.
C’est ce vote qui peut :
influencer les orientations,
demander plus de transparence,
défendre certaines professions,
protéger des dispositifs existants (ex : prise en charge des formations continues).
🟥 6. Les véritables enjeux — factuels — de la CIPAV, selon ostéopathe.pro
L’article identifie clairement plusieurs défis :
🔸 Gestion financière
équilibre du régime par répartition,
pilotage prudent des réserves,
ratio cotisants/retraités en tension.
🔸 Prestations
garantir le pouvoir d’achat des pensions,
renforcer l’invalidité décès,
améliorer la lisibilité des droits.
🔸 Organisation
modernisation des outils,
amélioration du service aux affiliés,
accompagnement dans les transitions professionnelles.
🔸 Gouvernance
décisions de valeur d’achat/service du point,
représentativité équitable des professions,
transparence des arbitrages.
🔸 Démographie
vieillissement,
revenus parfois faibles à l’installation,
risque accru de retraités avec droits insuffisants.
→ Ce sont des données factuelles.
🔵 Pourquoi j’ai voté malgré mes doutes ?
Voici ma motivation personnelle, clairement séparée du factuel :
✔️ 1. Je ne crois pas que le système actuel me donnera une retraite convenable
Les raisons :
dynamique démographique défavorable,
incertitude sur la valeur du point à long terme,
manque de transparence sur les réserves (composition des actifs).
Ce n’est pas une affirmation scientifique : c’est un doute légitime basé sur les observations publiques du système français.
✔️ 2. Je préfère construire ma retraite via mes propres investissements
Via :
épargne financière,
immobilier,
placements diversifiés.
Mais aujourd’hui, nous sommes juridiquement obligés de cotiser à la CIPAV.
Donc le vote est l’un des rares leviers.
✔️ 3. Le seul avantage clair aujourd’hui pour nous ostéos : la prise en charge des formations
C’est un point concret, factuel, indiscutable.
Protéger cet acquis demande de choisir des représentants compétents et alignés avec notre réalité.
✔️ 4. Je vote pour limiter les dégâts, pas parce que j’y crois
Je préférerais un système plus :
transparent,
moderne,
individualisé,
responsable financièrement.
Mais en attendant une réforme structurelle :
👉 je vote pour les personnes qui me semblent les plus capables de protéger la profession.
🔵 Pour qui j’ai voté
Je reproduis simplement ton bulletin tel qu’il apparaît :
Denis CRABIÈRES & Jean-Marc VENGEON
Pierre DELACROIX & Clémence GELEE
Julinda FERNANDES & Caroline SUBRA-ITSUTSUJI
Pierre-Adrien LIOT & Hervé DUMANS
Marie-Madeleine MARTIN & Sébastien GRAVIERE
1️⃣ Voter pour ces candidats, c’est soutenir une ostéopathie plus reconnue et mieux intégrée dans le système de santé
Les profils que j’ai choisis portent une vision moderne de l’ostéopathie :
plus scientifique,
plus crédible,
mieux articulée avec les autres professions de santé,
plus alignée avec les enjeux contemporains (EBP, interprofessionnalité, lisibilité publique, formation continue de qualité).
Ils défendent une ostéopathie qui avance, pas une ostéopathie qui se replie.
Ils cherchent à renforcer nos interactions avec les médecins, les kinés, les sages-femmes, les chercheurs, plutôt que de maintenir des clivages d’un autre temps.
C’est indispensable pour gagner en légitimité et en visibilité à long terme.
2️⃣ J’ai volontairement exclu les candidats qui perpétuent les anciennes “guerres” internes de la profession
Certaines candidatures portent encore le poids d’une bataille générationnelle des années 70–90, issue d’un contexte totalement différent :
anciens kinés devenus ostéos dans un cadre conflictuel,
rancœurs historiques envers l’État ou envers d’autres professions,
posture défensive ou revancharde jouant sur l’émotionnel,
communication basée sur l’ego ou sur la nostalgie d’un combat passé.
Ces pionniers ont été essentiels dans leur époque, personne ne le nie. Nous les remercions infiniment.
Mais continuer à structurer l’avenir de la profession autour de blessures anciennes est un frein, pas un moteur.
Aujourd’hui, l’enjeu n’est plus la guerre :
👉 il est la structuration, la reconnaissance, la rigueur, et la collaboration.
Nous avons besoin d’élus capables de penser l’avenir, pas de revivre le passé.
3️⃣ Je refuse de voter pour les candidats qui veulent revaloriser des cotisants n’ayant pas cotisé (au détriment des jeunes)
Certains candidats défendent l’idée de “réparer” ou “rattraper” les droits de ceux qui n’ont pas cotisé correctement par le passé.
C’est une ligne rouge pour moi.
Pourquoi ?
Parce que l’équité intergénérationnelle doit être réelle, pas symbolique.
Parce qu’un jeune ostéopathe qui cotise déjà beaucoup n’a aucune raison de financer les manques des autres.
Parce qu’un système de retraite par répartition ne peut pas devenir un système où ceux qui n’ont pas cotisé seraient malgré tout revalorisés.
Parce que la responsabilité individuelle est un pilier essentiel de notre statut libéral.
👉 Nous ne sommes pas là pour “payer la note” d’erreurs passées.
👉 Ce n’est ni juste, ni viable, ni cohérent.
Et comme je l’ai dit dans l’introduction :
Nous sommes ostéopathes libéraux, pas un régime collectiviste où l’effort des uns efface l’absence d’effort des autres.
🔵 En résumé : Pourquoi ces candidats ?
Pour trois raisons très simples :
✔️ Ils défendent une ostéopathie moderne, rigoureuse, lisible et reconnue.
✔️ Ils veulent sortir des querelles historiques et porter la profession vers l’avenir.
✔️ Ils ne demandent pas aux jeunes cotisants de financer rétroactivement les manques des autres.
C’est un vote pragmatique, responsable, et tourné vers l’avenir de notre métier.
🔵 Pourquoi votre vote compte
Même si :
vous ne comprenez pas tout à la CIPAV,
vous n’y croyez pas,
vous investissez déjà vous-même pour votre retraite,
vous trouvez le système opaque, lent, déconnecté…
le vote reste le seul outil réel pour :
défendre notre profession,
éviter que d’autres décident à notre place,
maintenir certains avantages concrets,
exiger plus de transparence,
demander une meilleure gestion.
S’abstenir, c’est laisser les décisions aux autres. (Prochaine élection dans 6ans)*
Louis Calcet Ostéopathe D.O